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Pompiers, héros du quotidien : Les Belles Histoires de Montech

D.R.
Aurélie Woorons est notre invitée : elle nous confie dans cet épisode quelques anecdotes insolites qu'elle a pu vivre avec ses collègues dans l'exercice de ses fonctions.
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Au programme : Accouchement et arrêt cardiaque.

Qui est Aurélie Woorons ?

Aurélie est sapeur-pompier volontaire au Centre de Secours et d’Incendie de Montech dans le Tarn-et-Garonne. Elle est également assistante de régulation médicale au SAMU 82. Elle se présente : « je me suis engagée en tant que Sapeur Pompier volontaire depuis le 1er Janvier 2019. L’envie a été progressive, sachant que je suis mariée avec un homme qui exerce le métier de Sapeur Pompier Professionnel, et qui est également volontaire. Cette envie s’est accentuée lorsque je me suis rendue compte qu’il manquait de personnels au niveau des casernes. J’ai alors complété un dossier, passé des tests de français, de maths, des épreuves sportives, un entretien sur mes motivations et une visite médicale. Après avoir tout validé, j’ai suivi une formation SUAP (Secours d’Urgence Aux Personnes) puis la phase de formation Incendie. Actuellement je suis au grade de Caporal, depuis février 2023, après avoir suivie la formation de Chef d’Equipe. »

Son mari, Frédéric Woorons est SPP au CTA/CODIS du 82.

Ses incroyables anecdotes

Aurélie nous raconte avec émotion le jour où elle a dû procéder à un accouchement plutôt mouvementé. Le lieu et les circonstances étaient pour le moins insolites. Heureusement, tout s’est très bien déroulé. Mais le papa a eu son petit lot de stress. La 2è anecdote concerne un homme en arrêt cardiaque que l’équipe d’Aurélie a pu sauver grâce à une intervention rapide et efficace.

Quelle est la chose la plus difficile à gérer en intervention ?

« Souvent, c’est la gestion de la famille qui est parfois compliquée. Nous avons déjà à nous occuper de la victime, ce qui prend du temps et de l’énergie. On sait qu’on ne doit pas oublier la famille. Il faut les gérer, leur expliquer ce qu’on fait parce qu’on lit de l’angoisse sur leurs visages. Ils ne savent pas, ils sont perdus, dépassés par les évènements. On arrive quand même dans leur intimité, chez eux, dans des situations pas évidentes à vivre. C’est ce climat-là qui peut être difficile à surmonter. Mais ils savent qu’on est là pour les aider, qu’on met tout en œuvre pour faire au mieux.»

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